Going South Again: 12.06.2016 Diakofti, Kythera

Monday, 13 June 2016

12.06.2016 Diakofti, Kythera

Dimanche 12 juin 2016

Bonne nuit et ce matin nous découvrons Diakofti, un petit village d’une tentaine de maisons au pied d’une montagne dénudée. Le port est sur une ile en face de Diakofti et cette ile est reliée au village par un pont. Pour aller au village, d’ici, il faut faire tout le tour de la baie, au moins deux km. Le grand voilier devant nous est parti de bonne heure et on ne l’a pas entendu. Un bateau qui porte le pavillon belge arrive et prend leur place dans la matinée, le capitaine est français et sa femme belge. Ils amarrent souvent leur bateau « Farfelu » ici, ils ont une maison dens le village. Nous partons en vélo et ça monte, monte, vous verrez la route sur une photo et ensuite, ça descend, descend vers Avlenomas, joli village dans une autre baie. Nous nous y baignons, je trouve pleins de bouts de verre et nous prenons une salade grecque à un restaurant où la vue est magnifique. Puis nous refaisons le chemin inverse, 17 km en tout. Pendant le retour le vent se lève et en arrivant à Diakofti on voit que cela souffle bien. Le vent vient de terre, juste derrière nous et a le temps, en 800m peut-être, de former des vagues. Et il force, force et les vagues augmentent. Maja est ballotée par les vagues et on ne peut pas aller dans le cockpit qui est aspergé copieusement. Jens va remettre des cordes et il sort par la fenêtre de devant, là où nous dormons. Le vent, dans la soirée est plus que force 7, je ne veux plus regarder la force. Jens voudrait aller au restaurant mais pas moi, je ne veux pas laisser Maja et, en plus, avec ces vagues c’est difficile de sortir du bateau. On reste donc diner au bateau puis on lit. A 22 h, le ferry arrive. Un des employés du ferry, au bureau, vient nous voir et nous dit que si on a besoin d’aide, il est dans son bureau et il dit à Jens de remettre encore une corde. On en a 4 derrière et deux devant, ça doit aller. Mais j’avoue que l’idée que j’avais eu à Evdilos sur Ikaria d’aller dormir à l’hôtel m’effleure de nouveau. La pauvre Maja) danse comme un chameau fou (et les pauvres Jens et Jeannette aussi), cabriole mais elle est bien amarrée et ne peut guère se sauver. Quand on se couche, cela se calme un peu.

Sunday, June 12, 2016

Good night and this morning we discover Diakofti, a small village of about thirthy houses at the foot of a barren mountain. The port is on an island in front of Diakofti and this island is connected to the village by a bridge. To get to the village from here, we have to go around the bay, at least two km. The big yacht in front of us has left early and we didn’t hear it . A yacht with the Belgian flag arrives and takes its place in the morning, the captain is French and his wife Belgian. They often moor their yacht "Farfelu" here, they have a house in the village. We go by bike and it rises, rises, you will see the road on a photo and then it goes down, down to Avlenomas, pretty village in another bay. We bathe, I find many of pieces of glass and we eat a Greek salad at a restaurant where the view is magnificent. Then we come back by the same route, 17 km in all. During the return the wind rises and arriving in Diakofti we see that it’s really blowing. The wind comes down from the mountain, just behind us and has time, in 800m perhaps, to form waves. And it become stronger and the waves increase. Maja is tossed by the waves and we can’t go in the cockpit that is sprinkled copiously. Jens will put more ropes and he has to go out through the front window, where we sleep. The wind, in the evening is more than force 7, I will no longer see the force. Jens would like go to a restaurant but not me, I don’t want to leave Maja and, in addition, with these waves it is difficult to go ashore. So we stay on the boat, have dinner, then read. At 10 pm, the ferry arrives. One of the employees of the ferry, in the office, comes to us and says that if we need help, he is in his office and says to Jens to put one more rope. We have 4 behind and two in front, it must be enough. But I confess that the idea that I had in Evdilos on Ikaria to go to sleep in a hotel comes to my mind. Poor Maja is dancing like a crazy camel (and poor Jens and Jeannette too) but she is well moored and can hardly escape. When we go to bed, it calms down a bit.